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Critique Bloodshot : Baboulinet Sous Lexomil

Critique Bloodshot : Baboulinet Sous Lexomil
Critique Bloodshot : Baboulinet Sous Lexomil

Bloodshot nous go far enfin de la function de Sony Pictures ! Première réalisation d’un habitué des effets spéciaux et avec Vin Diesel en tête d’affiche, cette adaptation de comics souffre d’un réel manque de vision !





Adaptation d’une œuvre de Valiant Comics, Bloodshot est en développement depuis quelques années déjà. Mais si on cherche un film d’action énervé et transgressif, inutile de dire que vous ne toquez pas à la bonne porte ! Après un Venom qui ne respectait pas yard chose du personnage, on retouche désormais au caniveau du genre, avec une fabrication digne du début des années 2000. La douce époque où adaptation de comics rimait à faire un film d’activity générique comme véhicule pour une star.





Dans un scénario à la Robocop/Jason Bourne/Universal Soldier, Bloodshot brain introduit Ray Garrisson, ex-Marine revenu à la vie grâce à une nanotechnologie développée par un riche PDG d’une entreprise spécialisée dans 50’augmentation humaine. Amnésique, il fera tout pour venger la mort de sa femme grâce à ses nouvelles capacités. Malheureusement il se rendra compte que les apparences sont trompeuses…





Si ce genre de pitch vous parait familier, c’est bien normal. Cependant rien n’excuse le manque flagrant de singularité du reste.





Critique Bloodshot : Baboulinet sous Lexomil
© Sony Pictures
© Columbia Pictures




Si dans 50’absolu head ne sommes pas dans la trahison de l’histoire de base of operations, difficile d’être d’accord avec le je-k’en-foutisme général d’une narration se reposant exclusivement sur un twist (présent dans le trailer) où les « gentils et les méchants ne sont pas ce qu’ils sont ». Réalisateur du 1er épisode de Love, Deaths & Robots, David Wilson peine a convaincre avec ce passage au cinéma alive !





Il y a de quoi avoir très peur dès les 15 premières minutes tournées comme un bis de Steven Seagal (en moins drôle), où la production design infâme est digne d’une série Z tournée en loucedé . Et si la suite reste plus intéressante, notamment via la découverte d’autres personnages rafistolés tels des cyborgs, difficile d’être conquis par un cinema ne s’éloignant jamais de sa feuille de route pré-établie.





Encéphalogramme plat





En effet, 50’intrigue prétexte est racontée sans emphase ni passion. Pourtant via les thèmes abordés de l’identité, du libre-arbitre, du transhumanisme et de la vengeance il y avait moyen d’apporter de 50’émotion ou de la tension : que nenni ! De summation les personnages semblent avoir lu le script ; narré n’importe comment, tout est directement expliqué au spectateur, pour un minimum de surprises garanties !





A 50’icon d’un Vin Diesel à la mine de bovin monocorde pour jouer les yakayos adepte du marcel, Bloodshot a bien du mal à respirer et avoir un supplément d’âme. Difficile de s’attacher à un personnage aux réactions en plomb, découvrant ses pouvoirs en two minutes sans être summation surpris que cela, et sachant déjà réaliser des prouesses physiques sans sec’entraîner au préalable (on 50’a dit, tout le monde a lu le script)





Critique Bloodshot : Baboulinet sous Lexomil
© Sony Pictures
© Columbia Pictures




Mis en scène pauvrement (une baston dans un tunnel faiblement éclairé où le réalisateur sec’efforce de constamment prendre les angles de vue les moins percutants), monté en dépit du bon sens (une poursuite en pleine ville qui enchaine les plans rapprochés en mode cache-misère), le film se prend régulièrement les pieds dans le tapis en ayant xv ans de retard dans le genre.





Il faudra attendre quelques plans longs mettant en avant les capacités (hyper mal mises en valeur) du héros ou bien un fight terminal plutôt inspiré (mais aux CGI inégaux) pour commencer à voir le potentiel qu’aurait eu Bloodshot avec un faiseur d’activity.





Rendez l’argent





Le reste du casting fait heureusement le chore avec charisme et en ayant foi en leurs personnages, notamment Eiza Gonzalez (Baby Driver) en bimbo badass, Lamorne Morris (Game Night) en nerd comic relief ou bien Sam Heughan (Outlander) avec un exosquelette à la Half-Life du summation bel effet. De quoi apporter un semblant de vie dans ce educate fantôme.





Bref peu de bonnes choses dans une production de 45 Millions de dollars qui semble en avoir couté 4 fois moins, même si quelques moments inspirés lors du climax, ou bien quelques poings dans la gueule régressifs restent du plaisir coupable.





Bloodshot reste un visionnage heureusement sans K temps mort. Pas de quoi sauver cette adaptation crétinoïde, paresseuse et vilaine cependant, à consommer au 2e degré, avec de vrais shots si possibles ! Inutile de dire qu’un Valiant Cinematic Universe fantasmé par notre chauve préféré n’est pas prêt d’arriver !





Le film voit donc sa sortie en salle contrariée à campaign du coronavirus, mais en ces temps sombres, il fait partie des films à voir en VOD en cette période !





Bloodshot, qui devait sortir en salles le 25 mars 2020, est donc disponible en achat digital et VOD.








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