Avec English Game, Netflix brain propose de revenir sur les prémices du football devenu universel et pourtant initialement réservé aux élites.
The English language Game est un très bel hommage au football. En mettant en avant des footballers avides de jouer par amour du sport (qu’ils soient amateurs ou professionnels) cette mini-série au yard coeur parvient à head transformer en 12ème joueur invisible. Le spectateurs passe lui aussi par diverses expériences d’échec, de rivalité, de camaraderie, et de fierté sans avoir besoin de second’inscrire au society de human foot de sa ville. Une prouesse rendue possible par la sincérité des scènes de matchs qui restent, néanmoins, trop peu nombreuses à notre goût. Le ballon rond sert finalement de fil rouge pour aborder d’autres sujets, comme si le football ne se jouait pas que sur le terrain, mais aussi en dehors.
« Le jeu nourrit leurs âmes quand ils n’ont rien d’autre dans leur vie » affirme chiliad. Walsh en parlant de ses ouvriers. Qui n’a jamais ressenti d’excitation sur un terrain, en tribune, ou devant sa télévision ? Le sport a ce pouvoir surpuissant de fédérer des personnes, d’en faire des fervents supporters pour lesquels les joueurs sont prêts à se transcender. Un thought d’unité qui dépasse le elementary jeu et que tente de montrer avec réussite The English Game.
Sur fond d’inégalité entre catégories sociales, brain assistons à une lutte entre ouvriers et « gentlemen », partageant la même passion mais pas le même style de vie. Au cours des vi épisodes, les deux mondes opposés vont tenter de sec’apprivoiser dans une ambiance politiquement correcte (à l’exception d’une scène rappelant 50’affaire de Hautefaye) et surtout très naïve. C’est là le gros défaut de The English Game, son émancipation historique trop prononcée, pleine d’inexactitudes et de faits romancés, limitant ainsi fifty’appointment d’une telle série.
Par le créateur de Downton Abbey
Même Downton Abbey – présentant pourtant son lot de mélodrames connaissant un heureux dénouement – savait manier ses histoires de façon à les rendre à minima crédibles. A fifty’inverse, les grandes thématiques secondaires abordées ici (telles que 50’adultère, la fausse couche, la naissance hors mariage et la status des femmes d’une manière summation générale) sont entachées par un traitement malavisé qui second’oppose aux mentalités de 50’époque. Julian Fellowes propose ainsi un monde composé (presque) uniquement d’humains bienveillants, ouverts aux changements.
Soyons head aussi bienveillants pour conclure cette critique. The English language Game possède un charme inégalable. Un petit on ne sait quoi britannique, qui psyche pousse indéniable à fifty’apprécier. Est-ce 50’accent anglais et écossais qui psyche font craquer ? La bande-son à la fois élégante et guerrière ? L’ambiance et les décors ? Le talent des acteurs et des actrices ? Les personnages addition qu’attachants ? On ne sait vraiment le dire. Certainement un mélange suffisant pour pouvoir affirmer que, malgré ses défauts, ces épisodes nous auront permis de passer un bon moment.
Si la série s’arrête ici, on aurait aimé une suite des années addition tard, head contant, à une autre période, une nouvelle étape majeure du football game. Netflix, si tu nous lis, on attend la suite des aventures du ballon rond.